École de Journalisme et de Communication d'Aix-Marseille (EJCAM)

"Je n’ai pas envie de perdre plus de temps que je n’en ai perdu pendant ces deux années de master complètement inutiles donc voici la liste des principaux points qui vous convaincront (je l’espère) de ne pas intégrer le master DICOD B en alternance. Juste pour vous donner le contexte, j’ai été dans la promo 2020-2022 et j’ai fait pas deuxième année en alternance. - Le corps professoral est totalement coupé de la réalité et des besoins du marché et nous enseigne des théories de la communication obsolètes sur des études de cas qui ne dépassent pas les années 2010 (voire même 2000 dans la majorité des cas) - Il n’y a pas ou peu de prises dans les salles et il n’y a pas de salle de travail digne de ce nom donc impossible de bosser dans l’école - Le master en alternance a été très mal organisé : chaque jour pendant 2-3 semaines le rythme en entreprise changeait, le responsable de formation n’avait aucune connaissance du cadre légal (temps de révision par exemple) et ils ont carrément oublié d’organiser le jury du 2e semestre et c’est un étudiant qu’il leur a rappelé - Le responsable de formation n’était pas au courant du fonctionnement de l’alternance, n’a pas suivi notre évolution dans l’entreprise, n’est pas intervenu lorsqu’il y a eu un problème dans une entreprise, n’a réalisé qu’une seule visite d’entreprise au cours du 2e semestre et il n’y avait donc aucune communication ni suivi entre l’école et l’entreprise - Pendant le 1er semestre, nous étions mélangés avec les initiaux avec les mêmes charges de travail et les mêmes partiels alors qu’ils avaient 3 semaines de révisions et nous une, avec en plus des heures de MOOC à réaliser chez nous après nos 8h de travail en entreprise - Lors d’une réunion que nous avons demandée car nous avions besoin d’être rassuré et que l’organisation du master soit plus claire, le responsable de formation nous a dit que nous étions payés donc nous pouvions mettre de l’eau dans notre vin et il a banalisé le burn-out étudiant (c’est normal d’être en surcharge mentale, de souffrir de sous-nutrition et d’absence de repos par manque de temps) - Le responsable de formation a cherché à nous déstabiliser lors de l’oral de mémoire en nous demandant d’adapter notre plan car ce n’est plus une personne mais les deux personnes du jury qui ont lu le mémoire alors que c’était contraire au règlement. Bref, je suis tellement dégoûté d’avoir passé mes dernières années d’études dans une école qui ne cherche pas à former de nouveaux chargés de communication car ils ne dispensent pas les cours nécessaires pour intégrer une entreprise. Dans ma promo, ceux qui n’avaient pas fait de communication avant sont aujourd’hui en difficulté pour trouver un travail car ils n’ont eu aucune base durant ces deux ans avec des cours inutiles. Bien sûr, cela ne reflète que mon avis et mon expérience au sein du master DICOD B, je ne peux rien dire concernant les autres formations qui doivent être différentes (enfin je l’espère parce que sinon faut fermer l’école !)"

"Une école avec des cours complètement déconnectés de la réalité professionnelle. Une école de communication où on n'apprend rien. Théorie, théorie, théorie. L'histoire de la communication, c'est bien, la théorie, c'est bien, mais pendant deux ans, en master, alors que nous sommes censés être en capacité de trouver un travail par la suite, ce n'est pas possible. La partie école durant cette année d'alternance était catastrophique. Nous avons à plusieurs reprises signalé au corps enseignant que cela n'allait pas ce à quoi on nous a répondu que l'alternance c'est dur, mais vous n'allez pas mourir si vous sautez un repas pour étudier à la place. Des étudiants rentraient en pleurant chez eux, ont frôlé le burn-out, encore une fois, manque de réaction du côté de l’école. Le temps de révision était non-existant, avec le statut contrat de professionnalisation, nous n'avions pas droit à la semaine de révision contrairement aux contrats d'apprentissage. Nous étions sur le même calendrier des examens que les étudiants de la promotion sans alternance, sauf qu'eux disposaient de trois semaines de révision avant les partiels, nous 0, et avec les copies anonymisées, nous avons été notés sur le même barème, cela ne parait pas logique. En tant que futurs professionnels de la communication digitale, nous n'avons eu aucun cours sur les réseaux sociaux ainsi que sur la suite adobe, ce qui est très pénalisant pour le monde professionnel qui nous attend derrière. Concernant le bâtiment de l’école en lui-même, il n'est pas accueillant, les salles ne sont pas équipées de suffisamment de prises. En bref, ne mettez jamais un pied dans cette école de communication, vous allez perdre votre temps. Je regrette d'avoir perdu deux ans dans cette formation qui m'aura été inutile jusqu'au bout, heureusement que j'ai pu vivre une expérience positive en entreprise lors de mon alternance. C’est également dommage qu’il n’y ait pas de cafétéria/resto U, celle de la Timone étant trop loin pour aller manger lorsque nous avions une heure de pause déjeuner. De même, pas de bibliothèque universitaire, ni de salle pour pouvoir rester étudier après les cours."

"École non professionnelisante. Même la théorie y est inutile. Des professeurs qui demandent de réaliser de gros projets sur Adobe sans même nous apprendre à l'utiliser. Rare sont les cours qui m'ont été utiles pour la suite de mes études et dans la vie professionnelle. Seuls ceux d'économie d'entreprise, de community management et de marketing étaient intéressants et utiles. Administration défaillante Je ne recommande pas."

"Que dire. Je vais faire court mais je pourrais en parler pendant des heures. Tout y est incroyable. Des professeurs géniaux, gentils, ouverts d'esprit, bienveillants, un cadre idyllique, un enseignement de très grande qualité, une promo en or, quelles années incroyables. Nostalgie et émotions bon sang. Je donne mon coeur à l'EJCAM. ❤️❤️❤️"

"Une "école" qui devrait disparaître !!! Les cours sont d'une pauvreté affligeante, certains professeurs plongés dans la recherche (et totalement hors de la réalité du marché), d'autres avec des approche archaïques du monde de l'entreprise... Des projets pour la plupart inintéressants, et une théorie qui peine à se mettre à jour. Les salles de classe sont un bordel innommable, j'ai eu l'impression de me retrouver au collège avec des étudiants immatures et visiblement avec des fantasmes d'une fac américaine. Et les professeurs, bien entendu, préfèrent laisser faire pour avoir la paix. Belle démonstration, de leadership. Sans parler du personnel de l'école... Le Sud ayant déjà la particularité d'être peuplé de fainéants, à l'EJCAM vous avez le top dans le genre. Aucune volonté de coopérer, présence aléatoire (pourtant pendant les lamentablement limités horaires de travail), et une attitude des plus pédantes. Au final, j'ai plus appris en lisant des bouquins, me renseignant sur Internet, et participant à des MOOC. Pas étonnant que l'employabilité soit ridicule à la sortie de cette école... Allez faire vos études ailleurs, vous n'en serez que mieux lotis. (Et dommage que je ne puisse pas noter "0")"