Clinique FSEF Aire sur l'Adour Jean Sarrailh
À propos
La Clinique FSEF Aire-sur-l'Adour Jean Sarrailh est un établissement de santé situé dans un magnifique parc de 4 hectares au cœur de la ville d'Aire-sur-l'Adour, comptant 7 000 habitants. Spécialisée dans la prise en charge des jeunes filles et garçons présentant des troubles psychiatriques, la clinique accueille des patients âgés de 14 à 20 ans, originaires des régions Aquitaine et Midi-Pyrénées.
L'équipe médicale de la clinique est dévouée à offrir un contrat de soin individualisé, axé sur une approche thérapeutique visant à soulager les troubles psychopathologiques spécifiques à l'adolescence. L'approche de soins tient compte de l'histoire et de l'environnement de chaque adolescent, afin de leur offrir un accompagnement adapté et personnalisé.
La Clinique FSEF Aire-sur-l'Adour Jean Sarrailh est agréée par la Sécurité Sociale, ce qui signifie que les frais de séjour sont pris en charge par l'Assurance Maladie pour les assurés sociaux. De plus, la part non prise en charge (le ticket modérateur) ainsi que les frais d'hébergement (le forfait journalier) peuvent être couverts par une assurance complémentaire, selon les termes du contrat de chaque patient.
Téléchargez le rapport d'activité 2021 de la Clinique, ainsi que la plaquette de l'établissement pour en apprendre davantage sur nos services et notre approche de soins. N'hésitez pas à nous contacter pour toute information supplémentaire ou pour prendre rendez-vous.
Contacts
2 Rue de Prat, 40800 Aire-sur-l'Adour, Landes, France
Avis
"Je suis restée 2 ans dans cette clinique et la seule chose qui m’a aidée à tenir c’est la scolarité et l’animation. Les deux équipes sont au top, très à l’écoute et super gentilles. Par contre, le côté soin est totalement négligé. Les psychiatres qui ne sont même PAS psychiatres la plupart du temps donnent des traitements à la pelle (petite pensée à la psychiatre du service A qui n’avait même plus le droit d’exercer en tant que médecin et à celle du service C qui était en fait médecin généraliste). Aucun diagnostic ne m’a été posé malgré les nombreux symptômes que je présentais et lorsque j’abordais le fait d’avoir besoin de poser un mot sur mes maux on me riait au nez (bien que j’ai depuis été diagnostiquée bipolaire et borderline par de VRAIS médecins compétents). J’avais besoin d’une vraie prise en charge avec un traitement adapté à mes pathologies et ce n’est certainement pas grâce à la clinique FSEF que je vais mieux aujourd’hui. Être enfermés entre adolescents malades h24 7/7 n’est certainement pas la solution pour aller mieux puisque tous les jours on assistait à une crise, des fois carrément des tentatives de suicide. Les infirmiers n’en avait strictement rien à faire de nous et nous devions clairement nous débrouiller tout seuls. La drogue circulait librement, tout comme l’alcool, et aucune mesure n’était prise contre ça puisque je le répète : ils n’en avaient rien à faire de nous. Personnellement, et après en avoir parlé avec des dizaines d’autres patients, je pense que la clinique devrait soit fermer soit revoir à neuf son équipe et sa politique par ce que c’est une CATASTROPHE. J’ai passé 2 ans dans une clinique soit disant psychiatrique et pourtant ce n’est qu’en sortant de cet enfer que j’ai pu avoir un véritable suivi avec un traitement adapté et encore une fois je le répète : UN DIAGNOSTIC. La clinique ne délivre pas ou très peu de diagnostics et laisse ses patients dans le flou, on avale des cachets sans savoir pourquoi et lorsque qu’on se pose des questions, légitimes, sur notre état de santé mentale on se fait jeter. En résumé : merci à l’équipe scolarité et animation d’avoir été un plus gros soutien et une meilleure présence que des “professionnels” de santé (gros guillemets ici par ce que pour la plupart je ne suis même pas sûre qu’ils aient reçu une quelconque formation à la psychiatrie). Fuyez cet endroit et si vous êtes parents n’envoyez jamais votre enfant dans cet établissement qui n’a de soins que le nom. Je tiens à préciser également mon expérience n’est pas unique et que je connais beaucoup de patient qui en ont une similaire. Je ne vous remercie donc pas puisque à aucun moment je n’ai été prise au sérieux ni réellement écoutée."
"Grâce à mon séjour là-bas de 84 à 87 j'ai repris le cours de ma vie, passé mon Bac en 88. Je suis parvenue à me sociabiliser, à décrocher, alors oui cela valait la peine! Merci aux infirmières et infirmiers qui ont croisé mon existence durant cette période et qui m'ont donné de leur temps et ont su se montrer à l'écoute. Plus de bons souvenirs que de mauvais."
"La Clinique Médicale et Pédagogique Jean Sarrailh à une valeur historique assez conséquente et le cadre est juste magnifique: un jardin floral avec une fontaine entourés de bâtiments anciens, beaucoup de végétation, une ancienne chapelle rénovée en centre d'animation avec une salle polyvalente assez cool. En ce qui concerne le service animation ils sont juste au top! Ils font preuve de créativité à chaque instants pour nous rendre notre petit bout de chemin en institution plus facile, ça fais toujours du bien! Il y a beaucoup de choix d'activités : arts plastiques, poterie, sports, médiathèque, musique (avec un contrat musique pour ceux qui veulent en faire tout seul ou en petit comité plutôt qu'en atelier de groupe), cirque (avec parfois des intervenants comme le LIDO de Toulouse et l'AFCA), écriture, bricolo, informatique, MAO (Musique Assistée par Ordinateur)... Et des soirées organisées par les petits soins des animateurs. Au niveau du service des études: les profs sont tous à l'écoute et font preuves de beaucoup de patience et d'ambitions à notre égard, toujours là pour nous encourager à progresser dans nos études et/ou de nous aider à revenir vers le chemin de l'école parfois perdu par certains d'entre nous ayant vécu des choses difficiles (bon après ils savent nous remettre dans le droit chemin tout de même!) Au niveau du self rien à dire ils sont vraiment cool: accueil chaleureux et des plats fait maison dans les cuisines ou ils se démènent pour qu'on mange le mieux possible. Passons au dernier point le plus important: le médical... La clinique est divisée en 2 services: - le service A - le service C (Le service B étant un mélange des deux services je ne l'ai pas compris comme 1 seul : 5 chambres du A et 5 chambres du C) Les deux services sont les mêmes, à la différences que ce ne sont pas les mêmes équipes qui les diriges. Comme tout êtres humains nous avons tous des caractères plus ou moins différents et des façons de travailler qui les sont aussi mais certaines personnes sont un peu négligeantes avec des propos qui ne devrait pas être pris à la légère. Côté médecin il y a deux opposés car l'un est bien plus laxiste que l'autre et c'est dommage Pour les AS... Ils y a aussi un léger décalage qui se vois par rapport à l'information et la savoir que doit avoir tout assistant social sur ce métier et c'est vraiment dommage de voir qu'on dois se débrouiller soi même ou avec l'aide des parents pour des démarches compliquées. Les psychologues sont aussi très différentes les unes des autres et il y a encore une fois des personnes qui n'ont peut être pas leur place dans ce métier ou qui devrait suivre une formation supplémentaire pour pouvoir exercer. Et le médecin traitant: absent malgré le fait qu'il soit là Malgré tout, l'accueil est chaleureux au niveau des patients car on s'entraide énormément et on veux tous s'en sortir car on a le droit de vivre la vie la plus paisible possible! Donc si il y a des personnes qui hésite énormément à venir car ils ont peur de l'inconnu, de ne pas s'en sortir, arrivée à aller mieux et repartir serein, foncer! Jean Sarrailh en a aider plus d'un malgré quelques gros points négatifs, faut pas hésiter car avec le temps on va beaucoup mieux et je dirais même qu'on peux apprendre à se connaître soi même."
"Mouef moi j'y suis c'est génial on se tappe des barres, on rigole bien. Bon on vole les melons du potager désolé Daniel. Les activités sont cool c'est une bonne colonie de vacances pour dépressif. Les femmes de ménages sont trop sympas (dans nos cœur nathalie). Une fois on a mangé au resto c'était cool. La piscine a 50 centimes c'est cool. Bon il y en a beaucoup qui grattent des clopes mais ça nous apprend à dire non. Les infirmiers sont à l'écoute. Bref gros bisous à ceux qui lisent ce commentaire."
"J'ai été hospitalisée pendant 11 mois dans le service soins-études (ouvert) quand j'avais 14 ans. Résultat : - il y a beaucoup d'inondations avec l'Adour. Les patients allaient souvent se baigner dans le fleuve alors que c'est très dangereux. Les infirmiers ne faisaient aucune prévention par rapport à ça. - j'ai du aller en cours pendant 2 mois max. Rien n'a été fait pour empêcher ma déscolarisation. - j'ai sombré dans la drogue à raison de 5 à 10 joints par jour (on trouve facilement du cannabis pas très cher à Aire sur l'Adour, les lycéens de la ville sont parfois les dealeurs). - des soirées bourrage de gueule étaient organisées par les patients toutes les semaines dans la cabane du jardinier (on disait "mercredi c'est le jour J"). - un trafic de cigarettes à été organisé entre les patients en soins-études (ouvert) qui allaient acheter des clopes pour les patients de l'UPA (fermé). - quand l'UPA était en construction, le bâtiment en chantier était le repère pour les orgies sexuelles des patients. - en 11 mois, il y a eu 3 cas d'agressions sexuelles entre patients impliquant en tout 2 garçons et 3 filles : 2 avec le même garçon qui a forcé deux filles différentes à lui faire une fellation dans le bâtiment des ateliers à 6 mois d'intervalle et le 3ème où un autre garçon a violé un fille la nuit dans le parc du centre au niveau du bâtiment de la scolarité. La direction, tout le personnel à été mis au courant mais ces deux garçons n'ont jamais été exclus. Quand je suis partie ils étaient toujours hospitalisés avec tout le monde. - avec une patiente, nous avons été poursuivies par un patient (celui qui a abusé de 2 filles) enragé qui nous criait qu'il allait nous frapper et nous tuer, nous nous sommes enfermées dans des toilettes pour nous protéger et le patient a essayer de defoncer la porte à coup de pied, ce qui a bloqué la porte (sans l'ouvrir) et nous ne pouvions plus sortir. Nous avons été obligées d'appeler le standard avec mon portable pour que quelqu'un vienne nous libérer. Un infirmier à défoncé la porte et nous avons été blessées par les vis et les éclats de bois. Le garçon n'a pas été ni exclu ni même puni... - il y a eu énormément de cas de fugues. J'ai moi même été obligée de fuguer et de passer quelques heures dans la forêt (le temps qu'ils me retrouvent) car ils m'ont empêché d'appeler ma mère pour qu'elle vienne me chercher car je voulais faire une sortie contre avis médical. - le jour de ma sortie contre avis médical j'ai du aller témoigner au commissariat de la ville pour la 3ème affaire de viol (car j'ai été la première à qui la victime à raconté l'événement (l'affaire à été classée sans suite...)). Il y a tout de même quelques points positifs : - la nourriture, sans être délicieuse, est meilleure que dans la plupart des hôpitaux. - les ateliers sont très bien notamment l'atelier arts plastiques, poterie, cafet' et bien sur musique grâce auquel j'ai pu former un groupe et faire un concert auquel les parents étaient invités. Les animateurs étaient très sympa aussi. - chaque mois une sortie au restaurant était organisée par l'animateur pour les participants de l'atelier cafet'. - les chambres étaient individuelles et fermaient à clé (pas ou peu de vols) elles disposaient chacune d'une salle de bains avec douche et lavabo (les toilettes étaient communes). - la lessive était très bien faite, nos vêtements étaient également parfaitement repassés. À vous de faire le pour et le contre.... Sérieusement faîtes votre possible pour empêcher que vous ou vos enfants soient envoyés là bas !!!!"
Liste d'entreprises, d'endroits et de services en Nouvelle-Aquitaine
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