Le Platô 7 Avenue de Tsukuba, 14200 Hérouville-Saint-Clair

"Décevant. Plat de cantine insipide et sans fantaisie. 13€ me paraît exagéré pour une qualité modéré. Arrivée à 13h, il n'y avait quasiment plus de choix. Les bacs à couvert sont salles. Dommage, le cadre était prometteur."

"Assez déçue du dessert car il est annoncé tiramisu mais je pense que c est que de la chantilly aromatisée sans biscuit avec des copeaux de chocolat . Sinon le cadre dehors est très sympa"

"Expérience décevante, pas d'offre végétarienne, la seule possibilité est d'avoir une assiette de garniture en portion très réduite et relativement chère Ne recommande pas pour les végétariens et encore moins pour les végétaliens"

"Apres une matinée éreintante, la guilde des dissidents recherchait un endroit au calme pour se sustenter. De loin, nous vîmes cette étrange bannière « La Platô ». Un endroit encore inconnu à explorer. Un self-service à première vue, mais avec des pizzas faite maison. Mes compères et moi-même prîmes donc le chemin de cette échoppe. Je me dois de saluer le talent du cuisinier qui nous a concocter moult victuailles, y compris, comme prévue, de belles petites pizza (j’insiste sur le petite, pour moi ça c’est un format enfant) Ca me rappelle beaucoup un self étudiant, mais l’avantage est qu’il n’y a pas besoin de recouvrir entièrement son plat de ketchup pour le rendre comestible, c’est assez bon, ça ne casse pas 3 pattes à un canard, mais à ce prix-là, c’est honnête. Le gros point positif, LA chose à mettre en avant, reste le cadre. Il y a une petite terrasse, juste à côté un petit lac, c’est très agréable d’y venir en été. Nous avons d’ailleurs eu la chance de voir passer quelques canards. Quelques miettes tombées accidentellement de notre table plus tard, les anatidés semblent nous avoir pris d’affection. Ils attendent, dans l’eau, à faire des couac, à l’affut de ce formidable buffet qui s’offre à eux. Une véritable idylle. Mais c’est là que les choses se sont corsées, lorsqu’un groupe de canards rival est venu réclamer sa part du butin. Le conflit de canard était simplement inévitable S’en est suivi une véritable lutte pour la domination de notre table, intimidation, couac offensif, contre couac et même des actes de bravoure sans précédent, l’un d’entre eux s’est présenté à quelques centimètres seulement de ma main pour manger. Quelques heures de plus et je pense que je pouvais ouvrir le premier Fight club de canard de Caen ! Cela résume bien le Platô. J’ai plus été impressionné par les canards que par mon repas. (Coïncidence ou pas, le lendemain c’était cuisse de canard)"