COIFFEUR BARBIER

"Ce monsieur a un Canarie dans une cage qui laisse à désirer. Pas nettoyée... Et je sais même pas si il mange correctement... Pour les cheveux je n'en sais rien..."

"Je suis venu me faire coiffer deux fois, mais les dégradés progressifs n’ont pas été réalisés correctement à chaque fois. La première fois, j’ai pensé que cela pouvait être un incident isolé et qu’il y avait peut-être eu un malentendu dans ma demande. J’ai donc décidé de donner une deuxième chance, mais malheureusement, le résultat est encore insatisfaisant. De plus, les contours réalisés avec la lame sont faits sans lubrifiant, ce qui provoque une irritation. De plus, l’attitude des coiffeurs diffère : l’un est très froid tandis que l’autre est très souriant. Travailler dans un domaine en contact avec la clientèle demande non seulement des compétences techniques, mais aussi une bonne relation clientèle, sauf peut être quand on est le Lebron James de la coiffure mais c’est loin d’être le cas."

"Un Guignol, une Blague, je viens pour un rasage de crâne et un contour de barbe. Le Guigniolos, me rase de près tentant de m'expliquer que : "d'avoir traçage c'est mieux avec le forme de ton visage". Le mec ne paye pas une cacahuète en matière de communication peut-être que revoir les bases de français serait un bon début pour lui. Le gérant, a vu et entendu la scène mais a fait preuve d'un laxisme total. J'ai demandé A je suis ressorti avec B. Changer d'employés, ou former les comme il faut car là c'est une catastrophe."

"Zéro étoile. Pour la ponctualité et l'attention portée aux clients. Je n'ai pas pu malheureusement tester la coiffure Je m'explique. Le salon ouvre a 9h. Le mardi 14 février je me présente à 9h15. Les lumières sont allumées mais la porte est fermée. J'attends devant. Au bout de deux trois minutes une personne apparaît. Il me voit attendre devant la porte. Je me dis qu'il va m'ouvrir la porte. Mais non. Il se prépare. Met son tablier. Range les chaises du salon. Passe un coup de balai. Il descend au sous sol quelques minutes. Il remonte. Me regarde une nouvelle fois. Il allume la TV. Règle les chaînes de la Freebox pendant quelques minutes. Tout cela dure un bon quart d'heure. Tout le long il me voit attendre dehors dans le froid. Devant la porte. Il finit par s'approcher pour m'ouvrir. Il est alors 9h30. Et je décide de partir pour ne pas être en retard pour le boulot. Une scène hallucinante. Irréaliste. Et qui traduit un manque de professionnalisme et de respect pour la clientèle juste incroyable. J'espère que au moins il est bon coiffeur a défaut de commercial. Je ne le saurai jamais car je ne suis pas prêt de revenir. Dommage"