C.S.S.R Centre Soins de Suite et de Rééducation

"Vraiment décevant les médecins ne son jamais la limite il faut leur faire un recommandé pour pouvoir lui prendre 5 minutes de son docteur rabais es désagréable ainsi que certains membres des soin infirmière ou infirmier ou aide soignant es soignante ne transmettre pas les informations à évité je suis pas seul a le penser allé a issoudin"

"Le Dr Rajasingham est très gentil et agréable et compétent, malheureusement le jour où j y suis allée pour mon infiltration sous radio, il n' avait pas d infirmière pour l aider suite. Un arrêt maladie non remplacé et celui ci était débordé . Il serait dommage qu'il parte...."

"Suite à une fracture, prise de rdv avec un spécialiste du CSSR. Le rdv écourté car le spécialiste avait une réunion avec sa supérieure, après avoir vu mes radios et mon IRM. Je suis resté avec un interne qui m'a dit qu'une infiltration devrait résoudre mon problème. Programmation d'une infiltration, qui n'a servi à rien, car le problème n'était ni articulaire, ni musculaire. Après consultation de contrôle, la situation n'ayant aucunement évolué, j'ai écourté et précisé que je prenais rendez-vous avec un spécialiste à Paris. Résultat : une opération pour reconstruction osseuse."

"Mon grand père est entré dans cet établissement après avoir fait un avc et perdu en partie l’usage de son côté droit. Lorsqu’il est arrivé on nous a demandé si il était incontinent.Nous avons répondu que non et ils lui ont mis une couche pendant les 6 semaines qu’il y a passé. Sans doute est-ce plus pratique de changer une couche à heure fixe que de venir aider un patient à aller aux toilettes quand il en a besoin ? D’ailleurs la fréquence des changements de couche à raison de une fois par jour doit probablement beaucoup aider les patients dans leur dignité et leur bien être mental pour se rétablir au plus vite. Vous l’aurez compris cet établissement est un mouroir et je vais vous faire une liste non exhaustive des curieuses pratiques qui y sont proposées: Lorsque mon grand père a demandé qu’on baisse son rideau électrique parce que la lumière le gênait la personne présente lui a répondu qu’elle allait appeler quelqu’un qui n’est jamais venu. Cette personne n’était sûrement pas formée à appuyer sur le bouton du rideau électrique. On lui a servi un steak sans lui couper alors qu’il ne peut utiliser qu’une main. Même chose avec des mandarines et une compote. Une seule douche en un mois et demi Après sa toilette, étrangement on oubliait de lui redonner la télécommande pour appeler un infirmier ou une aide soignante. D’ailleurs ça n’avait pas tellement d’importance car quand il l’avait personne ne venait quand il appelait. Il était là pour de la rééducation mais il faisait de la kiné de manière sporadique et c’est un euphémisme. Quand on a demandé pourquoi il en faisait si peu on nous a répondu que certaines fois quand les kinés venaient il n’était pas prêt. Faut-il préciser qu’il ne faisait rien lui même donc que s’il n’était pas prêt il n’y pouvait rien ? Lors des séances de kiné ils ne lui changeaient pas ses chaussures ce qui fait qu’il pédalait en charentaises et qu’il les perdaient à moitié. (Ses chaussures de sport étaient littéralement au pied du fauteuil duquel il ne bougeait pour ainsi dire jamais. Encore un point pour la dignité ! Le « docteur » Tallier, gériatre s’il en est, s’est fortement opposée à sa sortie prématuré que nous avons demandé car s’il restait il allait se laisser mourir. ( il ne regardait plus la télé ne lisait plus, était totalement déprimé et a perdu 7 kilos) Lorsqu’elle a accepté qu’il sorte elle est passé le voir ( alors qu’elle n’allait jamais le voir d’habitude) juste pour lui dire que chez lui il n’y arriverait pas de toute façon. Sa première prise de sang a été faite la veille de sa sortie probablement parce que c’est obligatoire et a révélé qu’il était anémié, rien que ça. Comme dit plus haut cette liste n’est pas exhaustive mais maintenant que mon grand père est entre de bonnes mains chez lui je n’ai pas l’envie de tout lister, sachez seulement que si vous tenez à vos aînées ne les laissez pas dans ce mouroir, la modernité de l’infrastructure étant inversement proportionnelle à la qualité des soins prodigués et destinée à appâter de pauvres gens naïfs avant de les négliger au plus haut point."