Centre Hospitalier de Plaisir - Site Marc Laurent 30 Avenue Marc Laurent, 78370 Plaisir

"Une prise en charge humiliante et inutile par le groupe ERIC pour mon fils gravement dépressif. Une psychiatre jugeante, absolument pas bienveillante et qui ne propose aucune solution."

"Si je pouvais mettre 0 étoile je le ferai. Une expérience pour le moins TRAUMATISANTES. Des établissement délabrés, semblables à des prisons, littéralement. Comme le psychiatre a pu me le dire, “cet hôpital accueille les plus lourdes pathologiques dont les autres hôpitaux ne veulent pas !” Je vous laisse imaginez l’état des patients qui sont TOUS complètements assommés par les médicaments, ne leur permettant ni de s’exprimer, ni même de restés éveillés. Une équipe soignante, sans aucune empathie et bienveillance. À l’exception d’une infirmière et d’une aide soignante. On ne vous écoute pas. Vos besoins, ce que vous pensez ne sont pas les bienvenus. On vous force à prendre médicaments sur médicaments dans le but de vous endormir et de vous empêcher de réfléchir correctement. Les mots me manquent pour dénoncer tout ce que j’ai pu voir ici. J’y suis rentrée pour dépression à la demande d’un tier, autant vous dire que ce lieu n’a fait qu’empirer ma situation. J’étais enfermée dans ma chambre à clef (oui car vous n’êtes pas à l’abri que pendant la nuit ou en pleine journée les patients essaient de s’infiltrer dans votre chambre) toute la journée complètement effrayée. Je n’osais ni descendre au réfectoire pour manger avec les autres patients ni aller aux toilettes. Oui car les sanitaires et douches sont collectives ! On m’a obligé à me gaver d anxiolytiques car je ne voulais pas manger (uniquement car j’étais terrifiée de l’endroit et des patients) bref si vous avez le moindre amour pour la personne que vous souhaitez interner, réfléchis-y à deux fois et par pitié ne les laisser pas franchir le seuil de cet établissement."

"Dr.Grigorescu et dr Baha jette les malades dans la rue après les avoir garder 6 jours en chambre fermée. ne préviens pas la famille de la sortie du malade Par contre pour la consommation de stupefiant dans leurs services Il ne font aucune demarche pour arrêter le trafic. et la libre circulation etansi que la vente de produits interdits J'attends que justice soit faite . Une plainte est en cours d instruction..."

"Si c'était possible ce serait 0 étoile ! Je suis allé pour des rendez-vous quand j'avais 17-18 ans et était en dépression avec de fortes idées suicidaires. Aucune empathie ou compétence ! Je ne comprends pas comment ces gens peuvent travailler avec des cas aussi délicats. Ils m'ont fait faire des thérapies de famille et m'ont demandé de décrire mes idées suicidaires à celle-ci! Bien sûre, impossible d'être honnête dans ce genre de situation. Aucun rendez-vous seule, toujours avec ma famille. Le docteur m'a prescrit des médicaments qui me faisant dormir 20h par jour et me rendait les idées floues. Cela empirait mon mentale et me faisait sentir inutile et inquiétait ma famille. Quand on en a parlé au médecin soit disant c'est parce que mon corps en avait besoin et c'était normal. Finalement j'ai décidé avec ma famille d'arrêter les médicaments doucement. Bien sûr je sais qu'il ne faut jamais faire ça sans l'avis du médecin et je ne recommanderais pas de faire pareil mais évidemment on n'était pas à mon écoute et il fallait faire quelque chose. C'est allé beaucoup mieux sans les médicaments, un nouveau psy et le soutien de ma famille. Bref évitez d'aller là-bas si vous voulez de l'aide."

"Hôpital de la dernière chance, vieux, voir vétuste (années 60), les nouveaux bâtiments n’ont jamais été ouverts car mal construits. Reçoit essentiellement des patients en hospitalisation à la demande d’un tiers (HDT). Fonctionne par pavillon de couleur en fonction de votre lieu de résidence. Chaque pavillon est dirigé par son médecin psychiatre qui fait régner l’ordre comme il le veut et comme dans une prison : isolement des personnes récalcitrantes, humiliations diverses (alors que les patients sont en grande souffrance, vulnérables et demandent surtout de la bienveillance). Si le patient entre au pavillon ‘Ivoire’, il n’aura jamais accès au parc ni à son téléphone quelle que soit la durée de l’hospitalisation. Vous resterez des mois à arpenter le couloir à l’inverse du pavillon ‘Vert’… Aucune harmonisation, seul le médecin psychiatre décide de votre sort. Vous êtes aidant, vous êtes le tiers, vous souhaitez un RDV avec le médecin psychiatre pour aider votre proche dans sa démarche de rétablissement : ne comptez pas sur ces RDV, ils sont systématiquement refusés. Vous pourrez appeler les infirmières qui vous tiendront ces 4 propos au sujet du patient : 1-il va un peu mieux, 2-il mange, 3-il dort, 4-il est sécurité (comprendre ‘ne peut pas mettre fin à ses jours’). Rien de plus, secret médical oblige vous rétorquera-t-on. Enfin, l’hôpital dispose de sa propre salle d’audience pour recevoir le JDL (Juge des libertés), greffier, patient. Ne comptez pas sur la présence d’un membre de l’hôpital pendant ces audiences même s'ils sont systématiquement invités. Comme dit en préambule : ‘De la dernière chance’ sinon ‘A fuir’."